7- Les bienfaits du rire et de l’optimisme

6-rires-optimisme

Plan de cette page :

1. Une petite histoire vraie assez marrante pour se mettre dans le bain
2. Quels mécanismes les pensées positives, le rire ou l’optimisme mettent-ils en route ?
3. Quelques conseils simples à mettre en pratique dans ce but :
3.1. Je relativise
3.2. Je surveille mes pensées
3.3. Je mets de la couleur dans ma vie
3.4. Je pense et parle avec des mots positifs pour créer un monde positif !
3.5. Je fais une activité qui me plaît !
3.6. J’ai le sens de l’humour !
3.7. J’arrête de me considérer comme une victime !
3.8. Je cultive la joie dans ma vie quotidienne !
3.9. Je crée mon œuvre d’art !

4. Une petite prière pour finir en beauté et dans la joie du cœur…    

 1. Une petite histoire vraie assez marrante pour se mettre dans le bain !

Gaston est gérant dans la restauration à Paris. Il est toujours de bonne humeur et a toujours quelque chose de positif à dire. Quand on lui demande comment il va, il répond toujours:  « Si j’allais mieux que ça, nous serions deux : mon jumeau et moi !« 

Quand il déménage, plusieurs serveurs et serveuses sont prêts à lâcher leur job pour le suivre d’un restaurant à un autre pour la seule raison qu’ils admirent son attitude. Quand un employé file du mauvais coton, Gaston est toujours là pour lui faire voir le bon côté des choses. Curieux, je suis allé voir Gaston un jour pour lui demander :  « Je ne comprends pas. Il n’est pas possible d’être toujours positif comme ça, partout, tout le temps !« 

Comment fais-tu ?

Et Gaston de répondre:  « Tous les matins à mon réveil, je me dis que, aujourd’hui, ou bien je choisis d’être de bonne humeur, ou bien je choisis d’être de mauvaise humeur. Je choisis toujours d’être de bonne humeur. Quand il arrive quelque incident déplorable, ou bien je choisis d’en être la victime, ou bien je choisis d’en tirer une leçon. Quand quelqu’un vient se plaindre à moi, ou bien je choisis d’entendre sa plainte, ou bien j’essaie de lui faire voir le bon côté de la chose. »

Mais ce n’est pas toujours si facile, lui dis-je.

Et Gaston d’enchaîner:  « La vie, c’est une question de choix » :

    • on choisit sa façon de réagir aux situations,
    • on choisit de quelle façon les autres peuvent nous influencer ou non,
    • on choisit d’être de bonne humeur ou de mauvaise humeur,
  • on choisit de vivre sa vie de la manière qui nous convient. »

Plusieurs années plus tard, j’entends dire que Gaston a fait incidemment ce qu’on ne doit jamais faire dans la restauration : il a laissé déverrouillée la porte arrière du restaurant un bon matin et il s’est fait surprendre par trois voleurs armés. En essayant d’ouvrir le coffre fort, sa main tremblante de nervosité, il n’arrivait pas à faire la combinaison numérique. Un des intrus a paniqué et a tiré. Heureusement pour Gaston, les choses n’ont pas traîné et il a été vite transporté à l’hôpital. Après dix-huit heures de chirurgie et des semaines de soins intensifs, Gaston a reçu son congé de l’hôpital avec les débris de la balle qu’on n’avait pas réussi à lui extraire.

J’ai revu Gaston six mois après l’incident et je lui ai demandé comment il réagissait à tout cela : « si j’allais mieux que ça, dit-il, nous serions deux : mon jumeau et moi. Tu veux voir les cicatrices ? »

Je n’ai pas voulu voir la blessure mais je lui ai demandé ce qui lui était passé par la tête au moment du vol. Et Gaston de dire:  « La première chose qui m’est venu à l’idée est que j’aurais dû fermer à clef la porte arrière du restaurant. Et puis, étendu sur le plancher après m’être fait descendre, je me suis souvenu que je pouvais encore faire un choix : ou bien de vivre ou bien de mourir. Et j’ai choisi de vivre. »

T’as pas eu peur ? lui dis-je.

Et lui de répondre:  « Les ambulanciers ont été bien corrects. Ils n’ont pas cessé de me dire que tout allait bien. Mais en entrant dans le bloc opératoire de l’hôpital, j’ai vu l’expression faciale des médecins et des infirmières et, là, j’ai eu peur. J’ai vu dans leurs yeux que j’étais un homme mort et j’ai su que je devais agir vite. Et alors, qu’as-tu fait ?

« Eh bien, mon ami, il y avait une grosse infirmière qui me bombardait de questions ; elle voulait savoir si j’étais allergique à quelque chose. J’ai dit oui, et les médecins et les infirmières se sont arrêtés pour entendre ce que j’allais leur dire. J’ai pris une profonde respiration et je leur ai dit que j’étais allergique aux balles de fusil ! Quand ils ont eu cessé de rire, je leur ai dit que j’avais fait le choix de vivre et qu’ils feraient mieux de m’opérer comme si j’étais un homme vivant plutôt qu’un homme mort !« 

Gaston a survécu grâce à l’expertise des médecins mais aussi grâce a son attitude étonnante ! J’ai appris de lui que, tous les jours, nous devons faire des choix : ou bien de profiter pleinement de la vie ou bien de s’y « emmerder » tant qu’on veut.

La seule chose qui nous appartient et que personne ne peut contrôler, ni nous enlever, ce sont nos attitudes. Alors, quand on peut cultiver des attitudes positives, tout le reste est « de la petite bière ».

(auteur inconnu) …

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2. Quels mécanismes les pensées positives, le rire ou l’optimisme mettent-ils en route ?

Il est courant d’entendre dire qu’on voit automatiquement la vie en couleurs (pour ne pas dire en rose !) dès qu’on est amoureux ou qu’une très bonne nouvelle nous parvient. C’est vrai que cela donne des ailes, que tout autour de nous devient subitement facile, beau, attrayant et que l’on relativise beaucoup plus facilement.

Bref, on devient extrêmement positif face à la vie … Génial ! Oui mais pourquoi ?

Principalement parce que, comme toutes les autres émotions et sentiments créés,  cet événement qui est stocké au niveau énergétique dans notre corps émotionnel va, de part sa nature extrêmement positive, en modifier la structure en effaçant ou en mettant de côté d’autres émotions plus négatives qui le polluaient jusqu’à présent. Nos pensées vont s’éclaircir, un poids va subitement disparaître définitivement ou pas suivant leur profondeur, la force de leur ancrage dans nos corps énergétiques (temps pendant lequel ces pensées ont été émises, nourries et soutenues).

Afficher l'image d'origineAutre raison avancée par nos spécialistes médecins et chercheurs : les sentiments amoureux  facilitent la sécrétion d’hormones responsables apparemment de cet afflux de bonheur. On parle de molécules spécifiques telles que la testostérone, l’ocytocine, la lulibérine, les endorphines Le souci, c’est que la production naturelle de ces hormones par le corps décline naturellement avec l’âge (à cause du vieillissement) mais aussi de façon plus anormale en fonction :

    • de notre alimentation chargée de produits nocifs,
    • de facteurs environnementaux : appelés perturbateurs endocriniens, ils sont présents dans tous les produits de la vie courante comme les plastiques, les peintures, les produits d’entretien, etc. et ils troublent l’équilibre naturel hormonal,
  • et d’une multitude d’autres facteurs génétiques, infectieux … qui restent cependant moins fréquents.

D’ailleurs ces hormones naturelles sont bien connues de beaucoup de médecins qui en « font commerce » et qui proposent, à titre de médicament, des produits comme l’ocytocine par exemple (secrétée par l’hypothalamus puis stockée dans l’hypophyse) afin de ralentir, dans ce cas le vieillissement ou décupler les envies sexuelles comme l’explique le Docteur HERTOGHE.

Mais plus raisonnablement (ou pas !), n’y-a t-il pas d’autres moyens dans la vie d’attirer ces pensées positives, ces rires, cette joie de vivre ?

Certes, suivant ce qui vient d’être dit, il est indéniable scientifiquement qu’il est plus facile d’y arriver si on est jeune (moins de 30 ans d’après les statistiques), si on mange sain et si, également, on se protège de ces perturbateurs endocriniens (ce qui n’est pas facile : maison écologique, produits d’entretien écologiques, tri draconien des plastiques …).

Mais indépendamment de tout cela, n’y a t-il pas d’autres recettes plus « naturelles » quand on voit le détachement et le sourire de certains moines bouddhistes zen ou autres, de beaucoup de gens simples (parfois dans un dénuement qui nous terroriserait, nous, européens) ?

Outre l’expérience qu’on peut retirer de la rigologie, de « l’école internationale pour le bonheur » ou de clubs de rire comme le « HASYA YOGA » (littéralement, Yoga du rire), voici quelques idées présentées, pour la plupart, dans un livre intitulé « Changer notre vie en 100 jours – Cahier pratique » de Vincent & Marie-Hélène CHEPPE-DOURTE pour essayer de changer notre perception personnelle des choses et des autres afin d’être plus enclin à rire de soi, des événements, de la Vie grâce aux modifications générées dans nos corps astral et mental !

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3. Quelques conseils simples à mettre en pratique dans ce but :   

3.1. Je relativise

Résultat de recherche d'images pour "relativiser"Relativiser, c’est donner de la valeur aux choses en fonction d’autre chose… C’est se positionner en tant qu’observateur d’une situation.

Ici, il est question, quotidiennement, de voir le côté humoristique de ce qui nous arrive et, dans les cas les plus « graves » (sans oublier que tout n’est qu’illusion ici-bas), de comparer notre situation à celle d’autres personnes dont le sort est beaucoup moins enviable et qui restent, souvent le sourire aux lèvres, néanmoins heureux de ce qu’ils ont.

Cette petite comparaison peut aussi éviter de nous laisser piéger par notre égo qui juge, évalue ou compare en nous projetant dans un futur peu glorieux ou une réminiscence encore moins heureuse de notre passé ! Restons donc dans l’instant présent conscient de ce que l’on a (et non de ce que l’on a pas).

Il ne s’agit pas non plus de se résigner face aux aléas de la vie qui n’est, en plus, que le résultat de nos actions passées (ce qui m’arrive n’est pas dû au hasard) : agissons en utilisant à bon escient la loi d’attraction dès maintenant.

En somme, ne donnons pas à nos problèmes quotidiens plus d’importance qu’ils n’en ont : acceptons plutôt les leçons qu’ils nous offrent dans la joie afin de mettre toutes les chances de notre côté pour les résoudre. De plus, une fois notre regard détourné de notre propre situation, nous pourrons aisément mieux comprendre celle d’autrui pour une plus grande ouverture de cœur, plus de compassion et d’empathie dans notre vie qui s’améliorera grandement pour notre plus grand bonheur !

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3.2. Je surveille mes pensées

Ces pensées quotidiennes sont le reflet du contenu à la fois de notre corps astral (qui stocke toutes nos émotions, quelles qu’elles soient : positives comme négatives) et de notre corps mental (qui enregistre les idées, leçons apprises). Plus nous purifions ces corps subtils, plus nos pensées le seront également …

Comment faire pour les purifier ? C’est un travail quotidien comme il a été détaillé ICI avec 9 pistes dont :

  • le lâcher prise : prendre du recul par rapport à ce que l’on pense, dit, ou fait, en évitant le piège de notre égo qui nous pousse souvent à vouloir tout contrôler plutôt que de laisser venir à nous les choses, plutôt que d’écouter l’analyse des autres, plutôt que de relativiser comme il est expliqué ci-dessus,
  • une discipline, une volonté et une foi de fer car il est plus facile de positionner, jour après jour dans nos corps subtils, des pensées de joie, d’allégresse ou de pureté grâce, à la fois, aux visualisations quotidiennes (ancrage, centrage, prières et intentions) mais aussi en utilisant le plus souvent possible les mantras (dont c’est le but originel !),
  • une prise de conscience de notre pouvoir de co-création cristallisé dans nos intentions matinales pour un avenir plus conforme à nos désirs. Autant que ce pouvoir, qui agit qu’on en soit conscient ou pas, soit utilisé à bon escient car la pensée est avant tout créatrice !
  • et un alignement à l’instant présent afin d’éviter que des peurs, angoisses, culpabilité, pressions, etc. viennent nous harceler et polluer ce moment présent, seule source d’auto guérison.

Tout cela permettra, petit à petit, d’effacer nos peurs, doutes et blessures qui polluent trop souvent notre mental et nous empêchent d’avancer dans la vie dan sla joie et l’optimisme.

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 3.3. Je mets des couleurs dans ma vie

Les couleurs sont partout et on finit par oublier que leur présence sur nous, autour de nous est vraiment capitale pour notre équilibre physique et psychologique… car une couleur est avant tout une vibration, une longueur d’onde (comme tout ce qui existe d’ailleurs) !

Et nos corps subtils sont et se nourrissent de vibrations… Ils ont donc besoin, pour leur équilibre, qu’on en face un usage à bon escient. Par exemple, le matin, pour se lancer dans un projet, pour se donner de l’élan, se motiver et avoir beaucoup d’entrain, rien de tel que de porter du rouge (vermillon par exemple !) Il est certain que le gris souris ou le marron n’aura certainement pas le même effet …

Une littérature abondante existe sur le sujet (par exemple ICI) et il certain que chacun, en fonction de ce qu’il est intrinsèquement, aime et porte plus (voire exclusivement) telle ou telle couleur. Ainsi, faire attention quotidiennement à cela nous mettra mieux à l’aise, rechargera de ce fait nos corps énergétiques induisant à la fois une attitude mais aussi une façon de pensée plus détendue, gaie, joyeuse !

Car nos couleurs traduisent notre état d’esprit comme l’explique très bien William BERTON avec son langage des couleurs développé depuis une vingtaine d’années en reliant une couleur à une façon de penser.

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3.4. Je pense et parle avec des mots positifs pour créer, à mon image, un monde positif !

Le choix des mots employés, tout le monde le sait (et sans être politicien !) n’est pas anodin : ils ont leur propre fréquence vibratoire en sachant que chaque langage a aussi la sienne : d’où l’utilisation du sanskrit pour les mantras. Il est facile de le faire et, en cas de « doute », de choisir le « verre à moitié plein que celui à moitié vide ».

Les paroles choisies vont émettre, de ce fait, une vibration qui va soit rehausser ou abaisser notre taux énergétique avec des conséquences similaires à la fois sur les choses qui nous entourent (qui sont aussi imprégnées de nos vibrations !) et les êtres (famille, amis, collègues …) que nous côtoyions.

« Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme » disait LAVOISIER

Effectivement, comme l’a démontré Masaru EMOTO, un chercheur autodidacte très célèbre (ses ouvrages ICI) qui, pour avoir photographié des cristaux de glace a démontré empiriquement que les paroles ont un effet sur l’eau.

Ainsi, ces cristaux  prennent spontanément une forme harmonieuse si des paroles positives leur sont communiquées pendant quelques minutes (prières, mantras) et vice versa. Et notre corps contient principalement que de l’eau (gloups !). Même expérience sur les plantes et les légumes qui grossissent énormément si des paroles d’amour (ou de la musique) leur sont transmises (exemple ICI d’un « jardinier » mexicain) ou, à l’inverse, dépérissent rapidement si des mots méchants, violents et négatifs sont dirigés vers eux.

Par extension, une attitude positive peut être très avantageusement reconduite en pensant au monde entier : n’ayons aucune limite (comme l’Univers car nous sommes faits de la même veine !). Notre pensée est bel et bien créatrice pour nous mêmes, mais aussi pour notre terre Gaïa et pour chaque individu qui l’habite.

Des pensées collectives similaires s’associent et créent ce qu’on appelle des « égrégores » ou « forme pensées » qui peuvent être positives (cas généralement des prières continuelles ou mantras dans les lieux de culte, des liesses de joie…) ou, au contraire, malheureusement négatives si beaucoup de personnes émettent des pensées discordantes de peur, d’angoisse, de colère, de séparation (racisme par exemple)…

Ces égrégores négatifs ne restent pas sans conséquence. Ils peuvent ensuite :

    • nourrir une personne qui, dans la tourmente (vibrations très basses), crée, en se connectant inconsciemment à elles, des actes de folie passagère aux conséquences dramatiques (suicides, meurtres en série),
  • ou se déverser sur notre terre provoquant cataclysmes, pluies torrentielles, inondations, etc.

D’où l’importance de l’innocuité de nos pensées, paroles et actes (accompagnées de joie et d’optimisme) qui ne sont jamais anodines et chercheront toujours à se déverser sur quelque chose ou quelqu’un

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3.5. Je fais une activité qui me plaît !

L’aspect professionnel ou l’exercice d’un hobby, violon d’Ingres de nos jours est prépondérant : nous y consacrons la majeure partie de notre temps. De ce fait, notre esprit est, à longueur de journée, préoccupé, sollicité  par tout ce qui s’y rapporte.

Afin de rester serein, il semble évident de conseiller d’exercer un métier, une passion qui nous plaît, en ce sens qu’il va nous permettre, dans son exécution :

  • de nous transcender par son aspect méditatif (besoin de concentration) pour les métiers plus manuels,
  • de nous rapprocher les uns les autres (nécessité d’une empathie, de la compassion) pour les activités plus sociales, de résolution des conflits,
  • de savoir mener à terme des projets d’envergure et les conflits afférents dans la gestion des ressources humaines, matérielles, naturelles (aptitudes à l’encadrement, aux responsabilités),
  • et de transmission du savoir pour les enseignants, éducateurs ou autre qui fait partie d’une chaîne de transmission d’une information : éducation au respect et aux valeurs humaines considérées comme étant de base (paix, amour, vérité, action juste et non-violence).

Donc, dans chacun les domaines choisis au cours de nos multiples réincarnations, cet aspect professionnel et personnel aura pour rôle de nous grandir en occupant notre esprit, jour après jour, uniquement dans l’instant présent.

Le choix de cette expérimentation sera primordial et il est fréquent, à chaque étape spirituelle dans une vie, de devoir changer de métier ou de compétence, nous révélant ainsi un peu plus à nous mêmes et aux autres.

Plus ce travail sera en accord avec notre cheminement spirituel, plus nos pensées seront centrées sur le moment présent et notre mental diligenté. Il ne restera plus qu’à faire entrer l’optimisme et la joie afin de se créer un avenir radieux, en accord avec notre évolution en cours

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3.6. J’ai le sens de l’humour

L’humour est l’arme pacifique la plus efficace pour désarmer n’importe quel conflit relationnel. Savoir se moquer de soi-même (de ses bêtises, faux-pas, maladresses…) et ne pas être susceptible (pratiquer le détachement face à ce qui est dit) sont des qualités exceptionnelles.

Elles permettent de rester véritablement positif dans la vie, de désamorcer bien des conflits et d’élever les vibrations des personnes concernées qui communiquent dans ce cas là dans la joie, la gaieté et la bonne humeur.

Encore faut-il, bien entendu, que ce sens de l’humour soit bien utilisé. Peut-on rire de tout sans être blessant ? Rester constructif et conscient des limites des différents interlocuteurs ? Il le faudrait pour rester dans la Joie.

En tout cas, ne pas se prendre au sérieux, accepter que les autres nous charrient, se moquent gentiment est une qualité formidable et encline à entraîner des cures de rires et de très bons moments curatifs.

Le meilleur moyen est de développer, entre autres, l’empathie comme le prône Marchall B. ROSENBERG ou Jacques SALOME avec son institut « E.S.P.E.R.E ».

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3.7. J’arrête de me considérer comme une victime

Vous sentez-vous victime ?

Test de 10 questions à faire soi-même

Qui n’a pas été, à un moment ou à un autre de sa vie « victime » d’un accident, d’un parent ou d’un professeur autoritaire et/ou entreprenant, d’une agression, d’une maladie…

Ces expériences plus ou moins traumatisantes restent souvent gravées dans nos « mémoires » (corps subtils encore une fois !) et beaucoup de spécialistes pensent que s’enfermer dans une « mentalité d’agressé » est plus dévastateur encore pour la victime que l’agression elle-même comme le souligne Amin MAALOUF. Pourquoi ?

Parce qu’un traumatisme émotionnel inscrit dans notre corps astral et, de ce fait,  non encore évacué, va influencer négativement notre corps mental responsable de nos idées, de notre raisonnement (plus généralement, de notre façon de voir la vie), ce qui engendrera des effets karmiques eux aussi négatifs (loi de cause à effets) donc, à plus ou moins long terme, d’autres souffrances qui, feront elles-mêmes boules de neige si elles ne sont pas résorbées…

L’habitude, même inconsciente de nous comporter comme une victime résulte de l’existence en nous de ces traumatismes, blessures toujours bien présentes, non encore évacuées. On prend alors l’habitude de reverser sur autrui ses propres manques, défauts, côtés obscurs (voir dans ce sens les accords Toltèques). On devient même manipulateurs en culpabilisant systématiquement l’autre…

Notre libre arbitre nous permet de nous sortir de cet engrenage en reconsidérant les causes de ces expériences traumatisantes (quelles qu’elles soient) c’est à dire, en premier lieu, en ouvrant son cœur à l’amour que les autres me portent (dont on ne se rend pas compte ou qu’on refuse) puis, en opérant un travail sur soi pour les guérir avant qu’un dysfonctionnement physique n’apparaisse. Voir pour cela les bienfaits :

  • d’une part de la méditation : excellente dans ce cas-là pour calmer ses pensées, se connecter à sa partie divine, relativiser, nettoyer ses émotions, percevoir cet amour …
  • et d’autre part, la page dédiée spécifiquement au traitement des peurs et blessures.

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3.8. Je cultive la joie dans ma vie quotidienne

Ce n’est pas si facile d’être joyeux… et pourtant !

Il faut jouer ! Savoir s’amuser pour hausser son taux vibratoire et le maintenir élevé !

Comment passer à côté des bénéfices d’être d’être dans l’allégresse en ces temps particulièrement propices au renouvellement, à la remise en question de nos choix, liens…

Cultiver cette attitude, jour après jour, imprimer un état d’esprit nouveau dans nos actes quotidiens va rapidement et efficacement nettoyer notre corps émotionnel qui en a tant besoin. Car même une petite chandelle peut venir à bout de la plus noire des obscurités

Ainsi, eu égard à ses bienfaits et quelles que soient nos activités (même si elles ne s’y prêtent pas à priori), le fait de laisser entrer la joie consciemment dans notre vie va attirer à nous des situations et des personnes également joyeuses en application de l’immuable loi d’attraction : le positif attire le positif, notre univers change, petit à petit, à notre avantage.

Il suffit quelque fois de changer un tout petit peu notre point de vue, nos croyances pour que la joie, l’optimisme réapparaisse, en adoptant, par exemple :

  •  une attitude plus positive (mots prononcés et sens de l’humour) sachant que tout cela n’est finalement qu’un « grand jeu » que les hindous appellent « maya » qui signifie illusion,
  • une volonté de ne pas dramatiser en restant dans l’instant présent, en prenant les choses avec détachement et amour pour que des situations du quotidien les plus banales non seulement ne nous entraînent pas vers la colère ou le repli sur soi mais deviennent plus agréables, accessibles, joyeuses, entraînantes, vivifiantes ou amusantes,
  • une autre conception du bonheur, en relation avec notre vraie nature spirituelle d’êtres divins incarnés. Les épreuves dans ce là pourront nous paraître plus légères, moins destructrices, souvent « comiques ». L’optimisme est lié à la beauté que l’on voit transparaître dans le regard d’autrui.
  • un émerveillement sans borne pour la création et ses multiples formes où l’harmonie est partout et en tout ! Réjouissons-nous de ces petits riens qui font notre quotidien : chant d’un oiseau, vent qui caresse un visage, beauté d’un soleil couchant … Cette perfection nous amène le sourire aux lèvres et nous réconcilie avec la vie !
  • une expression (pensées, paroles et actes) résolument tournée vers l’amour de soi et des autres afin de libérer en nous le Divin qui sommeille (petite flamme qui brille…).

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3.9. Je crée mon œuvre d’art !

Nous sommes tous UNIQUES grâce à nos talents et aptitudes souvent innés !

Reste à les chercher (si on ne les connaît pas tous encore), les développer, les peaufiner en écartant peurs et jugements et en exprimant librement nos émotions, ressentis, sentiments à travers nos créations dans nos divers domaines de prédilection.

Ainsi, on réalisera, créera son « chef-d’œuvre » qu’il s’agisse d’une peinture, d’une chanson, d’un poème, d’un dessin, d’un objet, d’une photo, d’une vidéo, d’une préparation culinaire, d’une décoration, d’un vêtement, d’une construction, d’un jardin, d’un discours, d’un acte d’auto guérison envers soi ou d’une aide apportée à autrui (physique, psychologique, pécuniaire)…

Ceci est primordial pour :

  • travailler sur sa confiance,
  • se détacher du regard des autres,
  • se libérer d’émotions pesantes (échecs, jugements …) en allégeant notre corps émotionnel,
  • et enfin se connecter à notre partie divine , notre âme (logée dans nos corps les plus subtils) afin d’améliorer tout à la fois intuition, compréhension de la vie, raisonnement (corps mental), détachement, prises de conscience personnelles, etc.

Il est évident qu’il sera beaucoup plus facile dans ce cadre de voir la joie et l’amour entrer spontanément ou plus facilement dans notre vie, notre taux vibratoire (grâce à la connexion avec nos corps les plus subtils) restant à un haut niveau ! Génial !

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4. Une petite prière pour finir en beauté et dans la joie du cœur…

Et pour finir, voici une petite prière offerte par notre ami Eckhart TOLLE qui a pour but de nous laisser porter par l’Univers, dans un esprit de foi tout en se laissant baigner par des pensées positives.

Prenez quelques instants et faites un vœu MAINTENANT

Puis continuez à lire après avoir formulé votre vœu :

1. Je choisis de vivre tous les jours la grâce et la bénédiction divine même si je ne sais pas comment
2. Je choisis de rester fidèle au Divin même si je ne sais pas comment
3. Je choisis d’avoir un travail épanouissant, bien rémunéré et de le garder même si je ne sais pas comment
4. Je choisis d’avoir un(e) époux(se) qui puisse me comprendre même si je ne sais pas comment
5. Je choisis que la bénédiction Divine soit sur moi et sur ma famille même si je ne sais pas comment
6. Je choisis d’avoir assez de ressources pour couvrir mes ambitions même si je ne sais pas comment
7. Je choisis d’avoir une santé de fer et un corps épanoui même si je ne sais pas comment
8. Je choisis que les circonstances me soient toujours favorables même si je ne sais pas comment
9. Je choisis de vivre la Magie au quotidien dans ma vie même si je ne sais pas comment
10. Je choisis la paix pour le Monde même si je ne sais pas comment
11. Je choisis pour ma famille et mon entourage, la paix, la prospérité et une longue vie même si je ne sais pas comment
12. Je choisis que le Divin m’accorde ce vœu même si je ne sais pas comment

Si la seule prière que vous dites dans votre vie c’est MERCI, cela suffit.

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